Bulletin n°472

Menée auprès de 589 patientes atteintes d'une maladie trophoblastique gestationnelle, cette étude compare la performance d'une tomographie numérique et d'une radiographie thoracique par rayons X pour prédire le risque de résistance à une chimiothérapie et évalue l'influence de ces deux types d'examens sur les résultats thérapeutiques

Menée à partir d'échantillons tumoraux prélevés sur 124 puis 670 patients atteints d'un cancer gastrique, cette étude évalue la performance d'un système de score, basé sur l'expression de 6 ligands immunosuppresseurs (NECTIN2, CEACAM1, HMGB1, SIGLEC6, CD44 et CD155), pour établir un pronostic et identifier les patients pouvant bénéficier d'une chimiothérapie adjuvante

Mené sur 346 patients avec un ou plusieurs nodules thyroïdiens de cytologie indéterminée (âge médian : 55 ans ; 76,9 % de femmes), cet essai randomisé compare la performance de deux tests moléculaires pour détecter des lésions cancéreuses

Menée en Angleterre à partir de questionnaires auprès de 381 femmes ayant participé à un programme de dépistage du cancer du col utérin utilisant pour la première fois un test de recherche du papillomavirus humain (HPV), cette étude identifie leurs besoins en matière d'information sur le test HPV ou le dépistage

Menée en Australie à partir d'une enquête auprès de 832 femmes et 252 cliniciens, cette étude identifie les facteurs motivant un examen de dépistage non nécessaire du cancer de l'ovaire

Menée à partir de données portant sur 379 patientes atteintes d'un cancer du col de l'utérus de stade précoce traité par chirurgie entre 2007 et 2016, cette étude met en évidence l'association entre un modèle prédictif, utilisant la "distance sans tumeur" (distance entre la séreuse utérine et le point le plus profond de l'invasion myométriale) ainsi que le statut ganglionnaire, et le risque de récidive

Menée à partir de données de la "Watch & Wait Database" portant sur 793 patients bénéficiant d'une surveillance médicale active pour un cancer rectal dont la réponse s'est avérée complète après une chimioradiothérapie néoadjuvante (durée médiane de suivi : 55,2 mois), cette étude estime, à l'aide d'une modélisation de la survie conditionnelle, la probabilité qu'il n'y ait pas de récidive locale ou de métastases distantes dans les deux ans qui suivent la fin de la surveillance en fonction de la durée de la réponse clinique complète (1, 3 ou 5 ans)