Bulletin n°413

Menée à partir des résultats de 42 290 tomographies numériques du thorax réalisées sur 14 851 participants et utilisant de faibles doses de rayonnements, cette étude évalue, par rapport à l'interprétation des radiologues, la performance d'un algorithme d'apprentissage automatique basé sur la comparaison de volumes tomographiques pour diagnostiquer un cancer du poumon

Menée sur 562 patients atteints d'un lymphome hodgkinien de stade IA à IIA avec absence de masse au niveau du médiastin, cette étude met en évidence la supériorité, par rapport à une identification avant traitement des risques cliniques, d'un score basé sur les résultats post-traitement d'une tomographie numérique par émission de positrons pour stratifier les patients

Menée à partir de l'analyse d'échantillons tumoraux prélevés sur 487 patients atteints d'une tumeur pulmonaire neuroendocrine de stade I à III traité par résection entre 1992 et 2012, cette étude met en évidence une association entre la propagation tumorale aérienne de type STAS (Spread through air spaces) et le pronostic des patients atteints d'une tumeur carcinoïde atypique, d'un carcinome neuroendocrinien à grandes cellules ou d'un carcinome à petites cellules

Cet article passe en revue les connaissances actuelles sur les techniques moléculaires et les méthodes permettant de réaliser le profil moléculaire des tumeurs, résume les recommandations concernant l'utilisation de biomarqueurs prédictifs pour différents types de cancer, puis présente les nouveaux biomarqueurs en cours d'investigation ainsi que les techniques moléculaires émergentes

Menée à partir de données génomiques portant sur 1 565 patientes atteintes d'un cancer du sein puis validée à partir des données du projet "The Cancer Genome Atlas" portant sur 854 patientes complémentaires, cette étude identifie des gènes dont l'expression est associée à un envahissement lymphovasculaire

A partir d'une méta-analyse des données de six études d'association sur le génome entier incluant 3 871 patients atteints d'un cancer de la prostate, cette étude identifie des polymorphismes à simple nucléotide associés au risque à long terme d'événements indésirables de grade 2 ou supérieur après une radiothérapie