Bulletin n°309

Menée auprès de 1 733 patientes atteintes d'un cancer du sein ER+ de stade I/II incluses dans deux essais de traitement adjuvant, cette étude analyse l'intérêt d'utiliser de façon combinée un score de récidive, basé sur l'analyse de l'expression d'un panel de 21 gènes, et la mesure du niveau d'expression des récepteurs aux œstrogènes pour évaluer le risque de récidive distante après la fin d'une chimiothérapie par tamoxifène (durées médianes de suivi : 11,2 et 13,9 ans)

Menée à partir de données portant sur 250 patients atteints d'un cancer du poumon non à petites cellules, cette étude évalue l'intérêt d'utiliser un indicateur de la sarcopénie (mesure de la partie inférieure du muscle pectoral par tomodensitométrie au moment du diagnostic) pour évaluer la survie globale

A partir d'échantillons sériques prélevés sur 76 patients atteints d'un cancer colorectal, sur 76 témoins et sur 20 patients atteints d'un adénome colorectal bénin, cette étude évalue l'intérêt d'utiliser des longs ARNs non codant comme biomarqueurs pour le diagnostic d'un cancer colorectal

Menée sur 250 patients atteints d'une tumeur solide (âge moyen : 73 ans), cette étude évalue la performance d'un système de score, basé sur des critères clinicopathologiques, biologiques ou thérapeutiques (âge du patient, type de cancer, taux d'hémoglobine, type de chimiothérapie reçue, dose administrée, ...), pour prédire la toxicité d'une chimiothérapie

Menée en Israël à partir de données portant sur 18 858 personnes asymptomatiques ayant effectué un test de dépistage du cancer colorectal entre 2004 et 2013 (âge moyen : 48 ans), cette étude évalue, en fonction de catégories d'âge (inférieur ou égal à 50 ans, supérieur à 50 ans) et du point de vue du taux de détection d'un polype ou d'un cancer colorectal, l'efficacité d'un test au gaïac

Mené dans plusieurs pays européens (Pologne, Norvège, Pays-Bas, Suède) et incluant 94 959 participant âgés de 55 à 64 ans et à risque moyen de cancer du côlon, cet essai randomisé évalue l'efficacité, en termes de taux de participation, de performance technique (réduction de l'inconfort et de la douleur) et du taux de détection, de l'utilisation de la coloscopie pour le dépistage du cancer colorectal

Mené dans plusieurs pays européens (Pologne, Norvège, Pays-Bas, Suède) et incluant 94 959 participant âgés de 55 à 64 ans et à risque moyen de cancer du côlon, cet essai randomisé évalue l'efficacité, en termes de taux de participation, de performance technique (réduction de l'inconfort et de la douleur) et du taux de détection, de l'utilisation de la coloscopie pour le dépistage du cancer colorectal

Menée à partir de données portant sur 1 133 patients adultes atteints d'une tumeur solide et présentant une neutropénie fébrile apparemment stable, puis validée à partir de données portant sur 296 patients complémentaires, cette étude évalue la performance d'un nomogramme, basé sur des critères cliniques ou biologiques (statut de performance, présence d'une maladie pulmonaire obstructive chronique, d'une maladie cardiovasculaire chronique, niveau sérique des monocytes, ...), pour prédire le risque de complications

Menée en Angleterre à partir de 71 échantillons tumoraux fixés au formol et inclus en paraffine, cette étude analyse, grâce à divers marqueurs (croissance tumorale, vascularité, densité des microvaisseaux, indice de prolifération, instabilité microsatellitaire), les différences biologiques entre les cancers colorectaux détectés dans le cadre du programme de dépistage utilisant le test au gaïac et les cancers de l'intervalle

Menée aux Etats-Unis, cette étude propose un modèle permettant d'évaluer le nombre de coloscopies nécessaires pour dépister efficacement le cancer colorectal en population américaine ainsi que l'adéquation des ressources pour les mettre en oeuvre

A partir d'échantillons tumoraux prélevés sur 37 patients atteints d'un carcinome épidermoïde du pénis, cette étude met en évidence une fréquente surexpression de PD-L1