Etude ElLen : étude de phase 3, randomisée, visant à évaluer l’efficacité et la sécurité de l’association elranatamab-lénalidomide, en phase de consolidation, en remplacement de la chimiothérapie suivie d’autogreffe de moelle, puis à comparer l’elranatamab au traitement conventionnel, dans la phase de maintenance, chez des patients atteint de myélome multiple nouvellement diagnostiqué.

Type(s) de cancer(s) :

  • Myélome multiple nouvellement diagnostiqué.

Spécialité(s) :

  • Chimiothérapie
  • Thérapies Ciblées
  • Immunothérapie - Vaccinothérapie
  • Greffe

Sexe :

hommes et femmes

Catégorie âge :

Inférieur ou égal à 18 ans.

Promoteur :

Intergroupe Francophone du Myélome (IFM)

Etat de l'essai :

ouvert aux inclusions

Avancement de l'essai :

Ouverture prévue le : -
Ouverture effective le : 09/07/2025
Fin d'inclusion prévue le : 15/05/2036
Fin d'inclusion effective le : -
Dernière inclusion le : -
Nombre d'inclusions prévues:
France: 824
Tous pays: -
Nombre d'inclusions faites :
France: -
Tous pays: -
Nombre de centre prévus :
France: 64
Tous pays: -

Résumé

Le traitement standard des patients en bon état général atteints de myélome multiple (MM) nouvellement diagnostiqué (NDMM) consiste en l’administration successive : d’une quadruplet en induction par le D-VRd (Daratumumab, Bortezomib, Lénalidomide, Dexaméthasone), puis d’une chiomiothérapie à haute dose (melphalan) suivie d’une autogreffe de cellules souches (ASCT) et de 2 cycles de D-VRd en phase de consolidation, et enfin du lénalidomine pour la phase de maintenance.
La chimiothérapie à haute dose (HDCT) étant associée à une morbidité importante, le rôle de la chimiothérapie et de l’ASCT est remis en question. De plus, et la plupart des patients traités par lénalidomide connaitront une rechute ou une récurrence de la maladie. C’est pourquoi, la recherche de nouvelles thérapies pour les phases de consolidation et de maintenance suscite un intérêt constant.
L'elranatamab, anticorps humanisé bispécifique ciblant l'antigène de maturation des cellules B (BCMA) et le CD3, a prouvé son efficacité chez des patients atteints de MM lourdement prétraités (essai MagnetisMM3). De plus, le profil de sécurité de l'elranatamab est connu pour être gérable et son potentiel effet synergique avec le lenalidomide en font un excellent candidat pour le traitement du MM pendant les phases de consolidation et de maintenance.
Dans cette étude de phase 3, randomisée et contrôlée, en groupes parallèles, nous proposons donc d’évaluer l’efficacité et la sécurité de l’elranatamab associé au lénalidomide en phase de consolidation et/ou de l’elranatamab en monothérapie pendant la phase de maintenance chez des patients NDMM éligibles à l’autogreffe.
L’étude sera composée de 2 parties successives :
Dans la partie 1, les patients éligibles seront répartis de façon aléatoire (randomisation R1 stratifiée selon le risque cytogénétique et la capacité de recrutement du centre investigateur) selon les groupes de traitement suivants :
Dans le groupe A, les patients recevront un traitement d'induction (4 cycles de D-VRd) suivi d'un traitement standard (HDCT avec ASCT, suivi de D-VRd comme traitement de consolidation).
Dans le groupe B, les patients recevront un traitement d'induction (4 cycles de D-VRd) suivi d'un traitement de consolidation par elranatamab et lénalidomide.
Dans la partie 2, les patients seront répartis aléatoirement une deuxième fois (randomisation R2 stratifiée selon la maladie résiduelle [MRD] et le bras de randomisation initial) et recevront les traitements de maintenance correspondants aux bras suivants :
Dans le groupe C, les patients recevront un traitement par lénalidomide en monothérapie.
Dans le groupe D, les patients recevront un traitement par elranatamab en monothérapie.

Population cible

  • Type de cancer : Myélome multiple nouvellement diagnostiqué.
  • Sexe : hommes et femmes
  • Age : Inférieur ou égal à 18 ans.

Références de l'essai

  • N°RECF : RECF-005876
  • EudraCT/ID-RCB : 2024-516418-39-00
  • Liens d'intérêt : https://www.clinicaltrials.gov/study/NCT06918002

Caractéristiques de l'essai

  • Type de l'essai : thérapeutique
  • Essai avec tirage au sort : Oui
  • Essai avec placebo : Non
  • Phase : 3
  • Etendue d'investigation : multicentrique - France

Détails plus scientifiques

Titre officiel de l’essai : Etude de phase 3, ouverte, contrôlée, randomisée, de traitement du myélome multiple nouvellement diagnostiqué, visant, en phase de consolidation à évaluer l’efficacité et la sécurité de l’association elranatamab-lénalidomide en remplacement de la chimiothérapie suivie d’autogreffe de moelle, puis dans la phase de maintenance, à comparer l’elranatamab au traitement conventionnel (ElLen; IFM 2025-01).

Résumé à destination des professionnels : Il s'agit d'une étude de phase 3, randomisée et multicentrique. Cette étude est divisée en 2 parties successives : 1- Partie 1 : les patients randomisés (stratification selon le risque cytogénétique et la capacité de recrutement du centre investigateur) en 2 bras. - Bras A : les patients reçoivent une traitement d'induction (4 cycles de D-VRd) suivi d'un traitement standard (HDCT avec ASCT, suivi de D-VRd comme traitement de consolidation) - Bras B : les patients reçoivent un traitement d'induction (4 cycles de D-VRd) suivi d'un traitement de consolidation par elranatamab et lénalidomide. Dans la partie 2, les patients seront répartis aléatoirement une deuxième fois (randomisation R2 stratifiée selon la maladie résiduelle [MRD] et le bras de randomisation initial) et recevront les traitements de maintenance correspondants aux bras suivants : - Bras C : les patients reçoivent un traitement par lénalidomide en monothérapie - Bras D : les patients reçoivent un traitement par elranatamab en monothérapie

Objectif(s) principal(aux) : Déterminer si le traitement de consolidation par elranatamab et lénalidomide est supérieur au traitement standard en termes de taux de négativité de la MRD. Déterminer si le traitement d'entretien par elranatamab est supérieur au traitement standard en termes de survie sans progression (PFS).

Objectifs secondaires :

  • Évaluer si le traitement de consolidation par elranatamab et lénalidomide est supérieur en terme de survie sans progression (PFS).
  • Déterminer si le traitement de consolidation par elranatamab et lénalidomide est supérieur au traitement standard en termes de survie globale (OS).
  • Évaluer l'efficacité d'un traitement de consolidation par elranatamab et lénalidomide par rapport au traitement standard.
  • Évaluer l'efficacité du traitement de maintenance par elranatamab.
  • Évaluer la sécurité pendant les phases d'induction, de consolidation et de maintenance.
  • Évaluer l'impact du traitement sur la qualité de vie du patient
  • Évaluer l'impact des marqueurs génomiques (NGS et WGS) sur les résultats.
  • Évaluer l'impact du microenvironnement sur les résultats.
  • Évaluer l'impact des paramètres de l'imagerie TEP sur les résultats.
  • Déterminer l'influence de la mesure de la composante M évaluée par spectrométrie de masse sur les résultats.
  • Déterminer l'influence des cellules tumorales circulantes sur les résultats.

Critères d’inclusion :

  • Âge ≥ 18 ans.
  • Patients atteints d'un myélome multiple nouvellement diagnostiqué (NDMM) et éligibles à une chimiothérapie à haute dose (melphalan) et à une autogreffe de cellules souches (ASCT).
  • Patient ayant un myélome multiple nouvellement diagnostiqué symptomatique, documenté selon les critères CRAB et/ou SLIM et une maladie mesurable définie par :
  • Présence de plasmocytes monoclonaux dans la moelle osseuse ≥10% ou présence d’un plasmocytome prouvé par une biopsie et au moins un des critères suivants définissant le myélome multiple : hypercalcémie : calcium sérique > 0,25 mmol/L (> 1 mg/dL) de la limite normale supérieure (LNS ) ou > 2,75 mmol/L (> 11 mg/dL) ; Insuffisance rénale : clairance de la créatinine < 40 mL/min/1,73m² en utilisant la formule CKD-EPI ou créatinine sérique > 177 μmol/L (> 2 mg/dL) ; Anémie : hémoglobine > 2 g/dL en dessous de la limite normale inférieure (LNI) ou hémoglobine < 10 g/dL ; Lésions osseuses : une ou plusieurs lésions ostéolytiques sur la radiographie du squelette, TDM ou PET-TDM ; Pourcentage de plasmocytes médullaires clonaux ≥ 60% ; Ratio des chaînes légères libres sériques impliquées/non-impliquées ≥ 100 ; Plus d’1 lésion focale (≥ 5 mm de diamètre) à l’IRM
  • Une maladie mesurable définie par : Protéine M sérique ≥ 5,0 g/L et/ou protéine M urinaire ≥ 200 mg/24 heures et/ou taux de chaînes légères libres (FLC) sériques ≥ 100 mg/L
  • Patient ayant un score de performance ECOG ou un indice de performance (PS) ≤ 2.
  • Patients présentant les valeurs de laboratoire cliniques suivantes (dans les 15 jours avant l’initiation du début du traitement d'induction) :
  • Fonction hématologique : hémoglobine ≥ 7,5 g/dL (≥ 5mmol/L). Les actes antérieurs de transfusion de globules rouges ou de recours à l'érythropoïétine humaine recombinante sont permis ; Nombre absolu de neutrophiles (PNN) ≥ 1,0 Giga/L (l’utilisation du facteur de stimulation G-CSF est permise) ; Plaquettes ≥ 50 Giga/L pour les sujets dont <50% de cellules nucléées médullaires sont des plasmocytes. Sinon Plaquettes > 30 Giga/L (les transfusions de plaquettes faites dans les 15 jours précédant l’initiation du traitement d’induction ne sont pas autorisées).
  • Fonction hépatique : ASAT ≤ 3 x LNS, ALAT ≤ 3 x LNS, Taux de bilirubine total ≤ 3 x LNS (sauf pour les sujets atteints d’une bilirubinémie congénitale, telle que le syndrome de Gilbert, dans ce cas, le taux de bilirubine direct ≤ 3 x LNS).
  • Fonction rénale : Clairance de la créatinine calculée ≥ 40 mL/min/1.73 m² ; Calcium sérique corrigé en fonction de l’albumine ≤ 1 4 m g/dL ( < 3 ,5 mmol/L); ou calcium ionisé libre ≤ 6,5 mg/dL (≤ 1,6 mmol/L).
  • Un consentement écrit, volontaire et éclairé doit être obtenu avant toute procédure liée à l’étude

Critères de non inclusion :

  • Patient ayant reçu antérieurement un traitement systémique pour le myélome multiple. Les traitements antérieurs par corticostéroïdes pendant le screening sont autorisés (la dose maximum ne doit pas excéder l’équivalent de 160 mg de dexaméthasone). Les patients ayant subi une radiothérapie concomitante (localisée) dans les 14 jours précédant l’initiation du traitement ne sont pas éligibles (dans ce cas l’inclusion doit être reportée si possible).
  • Patient présentant une neuropathie périphérique sensorielle ou motrice de grade ≥ 3 en cours.
  • Patient ayant des antécédents de syndrome de Guillain-Barré (SGB) ou de variants de SGB, ou des antécédents de polyneuropathie motrice périphérique de grade ≥3.
  • Patient ayant actuellement un diagnostic d’amyloïdose primaire, de gammapathie monoclonale de signification indéterminée, de myélome indolent ou de plasmocytome solitaire.
  • Patient ayant fait l’objet d’un diagnostic de macroglobulinémie de Waldenström ou d’autres affections dans lesquelles la protéine M de type IgM est présente en l’absence d’infiltration de plasmocytes clonaux avec lésions ostéolytiques.
  • Patient ayant eu une plasmaphérèse dans les 14 jours précédant le début du traitement d’induction.
  • Patient présentant des signes cliniques d’atteinte méningée du myélome multiple.
  • Patient atteint d’une leucémie à plasmocytes (selon les critères OMS : ≥5% de plasmocytes dans le sang périphérique) ou du syndrome de POEMS (polyneuropathie, organomégalie, endocrinopathie, protéine monoclonale et altérations cutanées).
  • Patient souffrant d’une pathologie ou condition médicale ou psychiatrique concomitante (par exemple, infection systémique active, diabète non contrôlé, maladie pulmonaire infiltrante diffuse aiguë) susceptible d'interférer avec les procédures ou les résultats de l'étude, ou qui, de l'avis de l'investigateur, constituerait un risque pour la participation du patient à cette étude.
  • Patient présentant une pathologie cardiaque cliniquement significative, notamment : - Patient ayant subi un infarctus du myocarde dans l'année précédant l'instauration du traitement d'induction ou souffrant actuellement d'une maladie ou d'un état instable ou non contrôlé lié à la fonction cardiaque ou l'affectant (par exemple, angor instable, insuffisance cardiaque congestive, pathologies classe III, IV de la New York Heart Association [NYHA]). - Patient présentant une arythmie cardiaque non contrôlée (grade ≥2 selon le CTCAE version 5) ou des anomalies cliniquement significatives de l’électrocardiogramme (ECG). - Patient présentant à la baseline un intervalle QT corrigé par la formule de Fridericia (QTcF) > 470 msec (ECG à 12 dérivations)
  • Traitement systémique par les inhibiteurs puissants de CYP1A2 (fluvoxamine, enoxacine), CYP3A (clarithromycine, telithromycine, itraconazole, voriconazole, ketoconazole, nefazodone, posaconazole) ou les inducteurs puissants de CYP3A (rifampine, rifapentine, rifabutine, carbamazepine, phenytoïne, phenobarbital) ou l’utilisation de Ginkgo biloba ou de millepertuis dans les 14 jours précédant l'instauration du traitement d'induction
  • Intolérance connue aux stéroïdes, mannitol, à l'amidon prégélatinisé, au sodium stéaryl fumarate, à l'histidine (sous forme de base et de sel chlorhydrate), au chlorhydrate d'arginine, au Poloxamer 188, au saccharose ou à tout autre composant des traitements à l'étude, qui ne se prêtent pas à la prémédication avec des stéroïdes et des anti-H2 ou qui interdirait un traitement ultérieur avec ces agents.
  • Allergies connues à l'un des médicaments de l'étude, à leurs analogues ou aux excipients des différentes formulations.
  • Patient ayant eu une intervention chirurgicale majeure dans les 2 semaines avant l’inclusion dans l’étude (signature du consentement) ou qui n’aura pas totalement récupéré d’une intervention chirurgicale avant d’initier le traitement d’induction, ou ayant une intervention chirurgicale prévue pendant sa participation à l’étude. La kyphoplastie ou la vertébroplastie ne sont pas considérées comme étant des interventions majeures.
  • Patient atteint d’une tumeur maligne invasive antérieure ou concomitante (autre qu'un myélome multiple) dans les 10 ans précédant l’inclusion dans l’étude, à l'exception du carcinome basocellulaire ou épidermoïde de la peau traité de manière appropriée, de carcinome in situ du col de l'utérus ou d'un adénocarcinome localisé de la prostate diagnostiqué depuis 3 ans et sans preuve de rechute biologique, ou d'autres cancers pour lesquels le patient a subi un traitement potentiellement curatif et n'a pas présenté de preuve de rechute/récidive depuis 10 ans.
  • Patientes enceintes ou allaitantes
  • Patientes refusant de s'abstenir de rapports hétérosexuels ou refusant d'utiliser un moyen de contraception approprié lors de rapports hétérosexuels depuis au moins 4 semaines avant le début du traitement d'induction, de façon continue jusqu’à au moins 4 semaines après l’arrêt du lénalidomide, 90 jours après l'arrêt du daratumumab et 6 mois après l'arrêt de l'elranatamab.
  • Les hommes ayant des partenaires en âge de procréer, même les hommes ayant subi une vasectomie réussie, qui refusent d'utiliser un préservatif pendant les rapports sexuels, depuis le début du traitement d'induction jusqu'à ≥ 4 semaines après l'arrêt du lénalidomide. En outre, les hommes doivent accepter de ne pas faire de don de sperme pendant cette période.
  • Séropositivité connues pour le VIH ou hépatites A, B ou C actives. Infection VHB active ou non contrôlée : patients positifs à l’antigène HBsAg et/ou à l’ADN du VHB
  • A noter : - Les patients peuvent être éligibles s‘ils sont positifs à l’anti-HBc IgG (avec ou sans anti-HBs positif) mais négatif à HBsAg et à l’ADN du VHB. a. Si un traitement anti-VHB a commencé avant le début du traitement expérimental, le traitement anti-VHB et le suivi devront être poursuivis tout au long de la période de traitement de l’étude. - Les patients testés négatifs à l’HBsAg et positif à l’ADN VHB pendant la période de screening seront évalués par un spécialiste pour commencer le traitement anti-viral : le traitement expérimental pourra être proposé si l’ADN VHB devient négatif et que les autres critères d’éligibilité de l’étude sont respectés. Infection VHC active : Patients positifs à l’ARN VHC et négatif à l’anti-VHC.
  • A noter : - Les patients sous traitement anti-viral VHC (Direct-acting antivirals (DAAs)) commencé avant le début du traitement expérimental et positifs aux anticorps VHC sont éligibles. Le traitement anti-viral VHC devra continuer tout au long de la période de traitement jusqu’à séroconversion. - Les patients positifs à l’anti-VHC et à l‘ARN VHC indétectable sans traitement anti-viral pour le VHC sont éligibles.
  • A noter : Dans les cas équivoques, les participants dont la charge virale est négative peuvent être éligibles. Les participants séropositifs au VIH qui sont par ailleurs en bonne santé et présentent un faible risque de complications liées au sida pourraient être considérés comme éligibles. L'éligibilité potentielle au protocole d'un candidat séropositif doit être évaluée et discutée avec le promoteur avant la sélection, en tenant compte du nombre actuel et passé de cellules CD4+ et de cellules T, des antécédents (le cas échéant) d'affections liées au sida (par exemple, infections opportunistes), du statut du traitement contre le VIH et du risque potentiel d'interactions médicamenteuses.
  • Patient présentant une infection systémique active ou des infections graves nécessitant l'administration parentérale d'antibiotiques.
  • Patients souffrant d'une maladie ou d'un trouble gastro-intestinal susceptible d’altérer significativement l'absorption des traitements oraux.
  • Patients dans l’incapacité ou refusant de suivre un traitement prophylactique antithrombotique.
  • Personne sous tutelle, curatelle ou privée de liberté par une décision judiciaire ou administrative

Critère(s) d’évaluation principal(aux) : Taux de MRD négative déterminé par NGS avec une sensibilité d’au moins 10- 5, mesuré à la fin de la phase de consolidation. La survie sans progression (PFS R2) est définie comme l’intervalle de temps entre la date de 2de randomisation (R2) et la date de progression confirmée (selon les critères IMWG) ou de décès, quelle qu’en soit la cause, selon l’évènement qui surviendra en premier.

Carte des établissements