Cancer de la lèvre, de la bouche, du pharynx

Principaux éléments concernant la survie des cancers de la lèvre, de la bouche et du pharynx :

• survie nette standardisée à 5 ans de 41 % chez les hommes et 56 % chez les femmes pour les cas diagnostiqués en 2010-2015
• amélioration de la survie nette standardisée à 5 ans de 12 points de pourcentage entre les diagnostics de 1990 et ceux de 2015 

Survie spécifique des personnes atteintes d'un cancer de la lèvre :

• Cancer de pronostic favorable avec une survie nette standardisée à 5 ans de 89 % pour les personnes diagnostiquées entre 2010 et 2015
• Survie nette à 5 ans variant peu avec l’âge au diagnostic (87 % à 80 ans et 91 % à 50 ans)

Survie spécifique des personnes atteintes d'un cancer de la cavité buccale : 

• Survie nette standardisée à 5 ans de 44 % chez les hommes et 56 % chez les femmes pour les cas diagnostiqués entre 2010 et 2015
• Amélioration de la survie nette standardisée à 5 ans de 13 points entre 1990 et 2015

Survie spécifique des personnes atteintes d'un cancer des glandes salivaires :

• Survie nette standardisée à 5 ans de 61 % et 72 % respectivement chez les hommes et chez les femmes diagnostiqués entre 2010 et 2015,
• Survie nette à 5 ans plus faible chez les plus âgés : passant de 89 % à 30 ans à 55 % à 80 ans

Survie spécifique des personnes atteintes d'un cancer de l'oropharynx :

• Survie nette standardisée à 5 ans de 41 % chez les hommes et 53 % chez les femmes pour les cas diagnostiqués entre 2010 et 2015
• Amélioration de la survie nette standardisée à 5 ans de 18 points de pourcentage entre 1990 et 2015

Survie spécifique des personnes atteintes d'un cancer de l'hypopharynx :

• Survie nette standardisée à 5 ans de 26 % pour les cas diagnostiqués entre 2010 et 2015
• Survie nette à 1 et 5 ans se dégradant avec l’augmentation de l’âge au diagnostic

Survie spécifique des personnes atteintes d'un cancer du nasopharynx :

• Survie nette standardisée à 5 ans de 66 % pour les personnes diagnostiquées entre 2010 et 2015
• Taux de mortalité en excès maximum juste après le diagnostic